«Jamais plus ça» est devenu «encore et encore ça»
«Ce que le Hamas, le Hezbollah et l’Iran infligent au monde aujourd’hui est une répétition de la grande tragédie qui frappa le monde à l’époque de Hitler et dont nous n’avons pas tiré les leçons.» Rabbi Marvin Hier (SWC)
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La haine des Juifs et de tout ce qui est juif est-elle de retour ? Non, car elle n’a jamais disparu.
Elle se fraie parfois sournoisement, parfois violemment un chemin à travers toutes les couches de la population. Jusqu’à présent, seuls les dérapages isolés des plus hauts représentants de la nation allemande faisaent sensation. Désormais, certains scandent «Juden ins Gaz» (Gasez les Juifs), entrecoupés de mélodieux «Allahu akbar».
Le Président allemand n’a-t-il pas félicité, au nom de tous les Allemands, les haïsseurs de Juifs de la République islamique d’Iran à l’occasion du 40ème anniversaire de sa création? N’a-t-il pas rendu hommage à l’Association des centres culturels islamiques d’extrême-droite (VIKZ) (Verband Islamischer Kultur-Zentren) lors de la célébration de leur 50ème anniversaire? Dès lors, comment s’étonner de la résurgence des vieux stéréotypes du passé contre les Juifs présents en Allemagne aujourd’hui?
Lundi soir à Bruxelles
Le terroriste islamiste Abdesalem L. a tiré au fusil d’assaut sur des passants au hasard et assassiné deux supporters de football suédois. Il s’est décrit comme un membre de l’organisation terroriste de l’Etat islamique. Il a commis cet attentat «pour venger les musulmans» a-t-il déclaré. Se venger de quoi ?
En Allemagne, les rares survivants de la Shoah, témoins de l’extermination industrielle planifiée par les nazis d’environ six millions de Juifs, il y a de cela 80 ans, éprouvent aujourd’hui une angoissante impression de déjà vu, quand dans Berlin, devenu le «shithole» coloré d’un multiculturalisme sauvage, les appartements des Juifs sont à nouveau marqués de l’Etoile de David.
Malheureusement, il subsiste encore des nostalgiques du «national-socialisme», mais de nos jours, le plus grand danger pour les Juifs de ce pays réside dans l’interaction entre la présence sur le sol allemand de millions d’immigrés haineux en provenance de divers pays mahométans (Danke Mutti Merkel) et la gauche locale, jusqu’au sein du gouvernement.
En Israël, cette coalition du Hamas et de ses sponsors européens – soi disant sous prétexte d’aide humanitaire – a entraîné la mort de plus de 1.400 civils israéliens, personnes âgées, jeunes, femmes, enfants, bébés, depuis l’attaque du Hamas en ce funeste samedi 7 octobre. Et cela, à cause d’une haine profonde, ancrée dans l’islam envers les Juifs et tout ce qui est Juif et ce depuis le VIIe siècle.
Selon Josef Schuster, Président du Conseil central des Juifs d’Allemagne, l’AFD n’est pas responsable de la montée de l’antisémitisme et ne devrait pas être interdite, comme le souhaitent certains politiciens rouges et verts.
Ce sont les membres des gouvernements de ces dernières décennies, qui ont pratiquement inondé le pays de millions de mahométans gorgés de haine envers les Juifs et Israël, à commencer par les descendants des Ottomans.
Un pays, qui a exterminé environ six millions de Juifs tout simplement, car Juifs, se permet une fois encore de distiller la peur et la terreur à une toute petite population juive.
Que font les haîsseurs habituels? Ils boycottent les marchandises en provenance d’Israël et se joignent au mouvement antisémite BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions).
En toute légalité, en plein cœur de l’Europe, ils exigent la destruction d’Israël au profit d’un état palestinien.
«From the river to the see, Palistine will be free.» scandent-ils dans les centre villes de la Bundesrepublik.
Quelques associations de défense des droits de l’Homme, comme le mouvement des citoyens PAX EUROPA, expriment leur solidarité avec Israël et reconnaissent son droit naturel à se défendre. Par contre, l’UE ne veut pas suspendre l’aide financière aux Gazaouis, mais la tripler à l’avenir, toujours motivée par cette bonté d’âme envers les malheureux habitants de Gaza, vivant dans une prison à ciel ouvert, selon la propagande bien huilée pro-palestinienne, anti-israélienne.
Ainsi, le Hamas pourra continuer à s’armer, après avoir distribué quelques miettes aux Gazaouis.
Et en Allemagne ?
La classe politique réfléchit à l’idée d’inviter sur le sol allemand les deux millions d’anti-Juifs en provenance de la bande de Gaza. Les politiciens allemands font également publiquement pression sur Israël pour éviter la spirale de l’escalade. Selon ces sages, déjà soumis aux nouveaux islamo-nazis allemands, qui enrichissent le pays de Goethe au doux cri d’Allahou akbar et lui apportent la «pax islamica», Israël ne devrait pas songer à se venger des terroristes islamistes du Hamas, non, il est prié de penser plutôt aux otages entre leurs mains. Israël devrait une fois de plus négocier avec ceux qui ne rêvent qu’à l’exterminer. Autant demander à une biche poursuivie par un chasseur résolu à l’abattre de négocier avec ce dernier pour la laisser en vie.
Après avoir été brièvement choqués par les atrocités commises par les égorgeurs du Hamas, les médias les plus importants et tous les donneurs de leçons habituels s’expriment déjà avec condescendance à l’égard d’Israël. Quoi qu’il advienne dans les prochains jours, quoi qu’il arrive, «les Juifs sont et seront toujours à blâmer!» Tel est le slogan des mahométans et des haineux gauchistes, qui ont à nouveau le vent en poupe et sortent de leur trou pour cracher leur haine fétide.
Aussi méprisables que les ennemis déclarés d’Israël sont les minables qui se prétendent neutres et rejettent la faute sur les Palestiniens et les Israéliens, selon la devise «Ce n’est pas notre guerre!». C’est tout simplement de l’odieux antisémitisme dissimulé. Quel est le rapport entre l’étoile de David sur les murs des appartements de Berlin et le terrorisme du Hamas? Vous ne pouvez pas être neutre ou indifférent. La terreur ne peut qu’être rejetée et combattue ou prônée à l’instar de certaines associations islamistes avec de belles paroles ou comme le souhaitent en catimini certains politiciens islamo-gauchistes. Il s’agit d’une nouvelle effrayante inversion agresseur/victime.
Si Israël utilise des moyens militaires pour combattre les terroristes islamistes du Hamas à Gaza et les débusquer partout où ils se terrent, vous entendrez immédiatement les cris d’orfraie de la gauche sommant Israël de retenue afin de protéger les «civils». C’est aussi prévisible qu’incontournable.
Le conflit du Moyen-Orient ne sera pas résolu dans les centres-villes allemands ni dans les universités. Seule la prise de conscience par les Arabes qu’ils aiment leurs enfants plus qu’ils ne détestent les Juifs (pour paraphraser Golda Meir) peut conduire à une solution durable. Mais ne rêvons pas! La haine d’Israël et des Juifs et la culture du martyre sont trop ancrés dans l’esprit des Arabo-palestiniens. Mourir en tuant l’ennemi juif et/ou l’infidèle ouvre au chahid la porte du paradis d’Allah et à tous ses délices.
Le gouvernement hongrois prouve qu’il existe une autre solution. Bien qu’il y ait encore quelques antisémites en Hongrie, ils ne constituent pas une menace pour la population juive. Les synagogues ne nécessitent aucune protection policière, même si l’une des plus grandes communautés juives vit et prospère en Hongrie. La Hongrie n’importe pas des antisémites haineux et lutte contre l’immigration clandestine. La Hongrie ne les laisse pas entrer dans le pays.
L’Allemagne en est le contre-exemple. Sur chaque mot de cette vaine exclamation «Plus jamais ça» coule le sang des victimes des terroristes islamistes. Que personne ne répète jamais cette affirmation selon laquelle les Allemands ont tiré les leçons de l’Histoire, alors que le gouvernement fait délibérément entrer chaque jour dans le pays des centaines de musulmans haïsseurs de Juifs. Ce comportement s’appelle de l’hypocrisie.
En revanche, ce dont nous avons besoin, c’est d’exprimer en paroles et en actes notre solidarité à Israël, la seule démocratie du Moyen-Orient.
© Rosaly pour Israel247.org
Source:«Importierte Judenhasser kriechen wieder aus ihren Löchern.» Conny Axel Meier -PINews (traduit et adapté par Rosaly)