La Tunisie est à bout de nerfs à cause des Accords Abraham de Trump, et elle se sent en plus trahie par les Palestiniens qui acceptent de négocier avec Israël.
Un nouvel Iran est né au cœur de la Méditerranée, son épouvantail de président est tellement dévoré par sa haine d’Israël, qu’il aurait été capable, s’il avait des missiles à tête nucléaire de longue portée, de les envoyer sur Israël en guise de « représailles ».
Endettée à 92 % de son PIB, et qui emprunte de l’argent pour payer les intérêts de sa dette, la Palestine n’a cependant pas de prix, rien n’est trop beau pour elle, au risque de faire le malheur des Tunisiens.
Après avoir fait sa place dans le Gotha mondial du djihadisme, et le djihad de la prostitution halal, le voilà promu au rang du deuxième pays au monde le plus haineux d’Israël après l’Iran. Et il revient à ses bailleurs de fonds internationaux de calmer ses ardeurs velléitaires.
Quand bien même il s’agit d’un pays qui ne pèse pas lourd sur l’échiquier mondial, le terrorisme n’a pas besoin de technologie militaire pour proliférer, il a besoin du souffle de la haine. Et tant que la haine d’Israël sert de nourriture à certains peuples musulmans, et tout particulièrement aux Tunisiens, on ne peut occulter son danger, sinon c’est s’en faire son complice.
Il y avait eu la synagogue de Ghriba de Djerba, et les tentatives d’attaque contre la Grande Synagogue de Tunis alors que les autorités tunisiennes de l’époque ne tenaient pas de discours hostiles à Israël. Or, avec cet épouvantable président, le pire est à craindre.
Cet homme est un danger public, et ce n’est pas les bombes humaines qui manquent.