Amit Segal critique le journal d’extrême gauche Haaretz : “l’industrie du poison de la gauche”

La diffamation en cours contre moi est en fait une colère contre le caractère du pays. Le journal « Haaretz » m’a déclaré la guerre il y a près de dix ans, mais ces derniers mois, il est passé au stade supérieur. C’est juste dommage qu’il contienne principalement beaucoup d’adjectifs et peu d’arguments.”

Amit Segal a vivement réagi, dans un article qu’il a écrit dans le journal Haaretz, à propos de la persécution que lui et des gens de droite subissent depuis très longtemps, et accuse le journal de ne “pas chercher à mener un débat droite-gauche mais se concentre pour bâillonner les bouches. Et lancer des insultes.”

Segal a à son tour répondu à l’affirmation du journal selon laquelle il existe une « machine à poison » de droite et a écrit : « Eh bien, s’il y a une machine à droite, alors Ha’aretz est une combinaison industrielle du poison de la gauche.

Haaretz n’est “non pas un ensemble de comptes Twitter de Mary Nefesh de droite, mais tout un système, riche en salariés et en budgets, dont le but est de noircir à long terme l’autre camp et ceux qui se tiennent à sa tête. Pas une dispute, mais des hauts-le-cœur. Pas des faits, mais des insultes. Le journal est destiné aux gens réfléchis, mais à Dieu ne plaise – pas à ceux qui pensent différemment. »

Segal ajoute, en apostrophant la rédaction de Haaretz :

« Ce qui vous dérange tant, ce n’est pas M. Segal, mais Mme Réalité.

La discussion bizarre, dans votre journal, sur la question de savoir si j’ai nui à la démocratie, en publiant le projet de jugement de la Haute Cour sur le caractère déraisonnable, a pour but de dissimuler le fait irritant que la majorité des juges de la Cour suprême en exercice s’oppose à l’annulation de la clause de raisonnabilité, et ils ne croient pas que ce soit la fin de la démocratie et de l’État. La tentative de diffamation en cours contre moi est en fait une colère contre la nature de l’État, qui soutient la ‘colonisation’ sur toute la Terre d’Israël et s’oppose à transformer un ennemi en amant et un amant en ennemi. »

Segal termine sur la pensée unique, cette façon de penser uniforme du journal :

«Je souffre d’une allergie à la pensée de groupe et aux tentatives de réduction au silence, avec tout le respect que je vous dois.”

Quitter la version mobile