Accord historique : Israël et les Émirats arabes unis ont achevé les négociations d’un accord bilatéral de libre-échange

Une nouvelle gifle humiliante contre les antisémites de BDS… et un nouveau coup de chapeau à Donald Trump pour ses accords Abraham.

La ministre de l’Économie et de l’Industrie, le général de division (à la retraite) Orna Barbivis et le ministre d’État au commerce extérieur des Émirats arabes unis (EAU), le Dr Thani bin Ahmed Al Zeyoudi, ont annoncé vendredi 1er avril 2022 la conclusion des négociations sur un accord de libre-échange bilatéral global.

Les accords d’Abraham, qui ont été signés en septembre 2020 à l’initiative du président Trump, constituent la base des relations diplomatiques entre l’État d’Israël et les EAU. Un an plus tard, en novembre 2021, ont débuté les négociations sur un accord bilatéral de libre-échange, qui ont été conclues en avril 2022.

La question a été discutée par le Premier ministre Bennett et le prince héritier Mohammed bin Zayed à Abu Dhabi en décembre dernier, où il a été convenu d’accélérer les contacts avant la signature, et lors de leur rencontre en Égypte la semaine dernière, où les dirigeants se sont mis d’accord pour conclure l’accord en quelques jours.

L’achèvement de la négociation est un événement historique. Il s’agit du premier accord de libre-échange complet avec un pays arabe et il intervient si peu de temps après l’établissement de relations diplomatiques.

Les discussions se sont poursuivies pendant cinq mois et ont comporté quatre cycles de négociations et un travail accéléré des équipes de négociation des deux parties afin d’achever les discussions le plus rapidement possible.

L’accord, qui est à la fois important et complet, comprendra – entre autres – des questions relatives au commerce des marchandises telles que la réglementation, les normes, les douanes, le commerce des services, la coopération, les marchés publics, le commerce électronique et les marques commerciales.

Les relations entre Israël et les EAU ont un grand potentiel économique dans une série de domaines en raison, entre autres, de la proximité géographique entre les peuples et des caractéristiques uniques des EAU, qui ont la deuxième plus grande économie du monde arabe après l’Arabie Saoudite, et un marché d’importation valant des centaines de milliards de dollars, avec des biens technologiques et des solutions avancées dans lesquels Israël a un avantage comparatif constituant une part considérable.

Depuis l’avènement des Accords d’Abraham, le commerce entre les EAU et Israël a connu une croissance significative et a déjà atteint – activistes de BDS fermez les yeux – près de 900 millions de dollars en 2021. Le potentiel d’échanges entre les deux économies est bien plus important et comprend de nombreux domaines tels que l’énergie, la santé, la numérisation, les équipements médicaux, l’eau (dessalement, purification, conservation et gestion intelligente), l’agriculture, la cybernétique, les Fintech et les exportations de diamants.

Ohad Cohen :

« Nous avons réussi, en peu de temps, à conclure des négociations vastes et complètes avec un pays avec lequel nous n’avions aucune relation économique il y a encore 18 mois. La volonté des deux parties de conclure les négociations rapidement et efficacement, tout en préservant les intérêts des deux pays, prouve qu’il s’agit d’un partenariat à long terme qui continuera à se développer et à s’étendre à différents domaines. »

L’accord isole encore un peu plus les têtus Palestiniens, obstinés à détruire Israël au lieu de construire leur société, qui campent sur des revendications impossibles autour d’un illusoire Etat de Palestine, d’une stupide solution à deux Etats, d’une capitale juive divisée en deux, et peut-être le plus débile : l’arrivée de millions de Palestiniens de l’étranger non pas dans le nouvel Etat créé, mais en Israël, rien que ça !

© Equipe de rédaction Israel247.org.

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Source : Communiqué par le ministère de l’Economie et de l’Industrie

Crédits photo : Gideon Sharon et le ministère de l’Economie et de l’Industrie.

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