Sept personnes ont été arrêtées samedi alors qu’elles tentaient de faire entrer clandestinement en Israël 45 litres d’une “drogue du viol”, le GHB*, selon l’unité du porte-parole de la police israélienne.
Le poste de police de Jaffa avait reçu une information selon laquelle la drogue était en route vers le pays. La police a enquêté, et a arrêté le groupe de passeurs à leur arrivée dans le pays. Leurs bagages ont été fouillés et 44 bouteilles de drogue ont été découvertes.
Les suspects, cinq hommes et deux femmes, ont été placés en détention et leur arrestation a été prolongée de cinq jours.
La drogue a été saisie et emmenée pour une inspection plus approfondie alors que l’enquête se poursuit. On n’ose pas penser aux ravages que peut faire cette drogue sur les jeunes femmes qui en seront les victimes : le viol laisse des séquelles à vie. On n’ose pas non plus penser aux hommes, des bestiaux en fait, assez pourris de l’intérieur pour verser cette drogue dans le verre de leurs proies.
En mai 2022, un résident de Netanya âgé d’une vingtaine d’années et possédant la double nationalité, a été arrêté à son arrivée à Ben Gourion en possession plus de 10 litres de “drogue du viol”.
Depuis 2019, les Israéliennes demandent de plus en plus souvent au ministère de la Santé des tests de dépistage de la drogue du viol pour tester leurs cheveux, et savoir si elles ont été droguées.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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* Le GHB est une drogue inodore et incolore qui peut être combinée à de l’alcool et administrée à des victimes sans méfiance avant une agression sexuelle. Il peut avoir un goût savonneux ou salé. Son utilisation à des fins d’agression sexuelle a valu au GHB d’être qualifié de “drogue du viol”.