L’actuelle guerre contre le Hamas dans la Bande de Gaza, ne dérive point d’un conflit territorial et ne l’a jamais été, nonobstant les prétendues revendications des factions appelées palestiniennes.
En vérité, c’est surtout l’instinct hégémonique existant dans l’Islam, mais c’est aussi l’influence néfaste de la Confrérie musulmane qui étend ses ramifications dans le monde entier. Elle est même préjudiciable aux pays musulmans. Elle a été chassée de l’Égypte, du Maroc, de la Tunisie, entre autres… Mais si ces États musulmans ont eu la possibilité de lui couper l’herbe sous les pieds, ce n’est pas le cas des démocraties occidentales, qui subissent les conséquences de leurs propres lois, lesquelles leur interdisent l’éjection d’éléments même dangereux.
Et c’est indubitablement le mal dont souffre le monde occidental et démocratique qui, par manque d’audace et crainte d’une réaction violente de ses ressortissants, évite de lui accoler sa véritable désignation, qui est : Un conflit ethnico-culturel croissant, couvrant presque tout le bloc démocratique.
C’est le face-à-face de deux cultures fondamentalement antithétiques. L’une est moderne, progressiste, laïque et/ou judéo-chrétienne en majorité. L’autre est musulmane, en provenance de régimes monarchiques ou dictatoriaux.
Israël, bien que juif, est démocratique, moderne, qui réussit à suivre le pas de l’Occident, tout en demeurant fidèle à ses racines ethniques et religieuses. Il faut aussi noter que les lois religieuses du judaïsme n’interdisent pas la cohabitation avec des non-juifs.
Si la manifestation de ce monothéisme est particularisme, son projet est délibérément universel : Dieu est le dieu de tous les hommes, pas seulement le Dieu des Hébreux. Voilà pourquoi comme l’a bien précisé Ernest Renan : «C’est le monothéisme hébraïque qui permet l’éclosion d’une justice véritablement universelle». Le temple de Jérusalem est également une maison de prière pour «toutes les nations». Tant qu’il perdura, il demeura le centre spirituel d’une grande partie du monde. Lors de la destruction du deuxième temple, il y a près de 2000 ans, le concept du temple resta cependant une source spirituelle, un motif d’espoir et de nostalgie, pour toutes les nations, et aux juifs en particulier.
Ce qui n’est pas le cas de l’Islam et de ses adeptes. Le Coran possède des lois, des interdictions qui ne permettent pas une cohabitation avec les Kouffars (infidèles), à moins d’en faire des dhimmis.
En outre, l’Islam n’accorde aucune similitude entre les sexes. La femme ne se trouve jamais aux côtés de l’homme. Elle est couverte de la tête aux pieds dans ses Tschadors, Burqa, Hijab, Niqab et doit obéir à l’homme. L’Islam est principalement chauviniste. Les chefs d’État arabo-musulmans sont majoritairement des hommes. En Iran, en Irak, en Syrie, en Arabie Saoudite, au Koweït, aux Émiraties, au Maroc, en Afrique du Nord, etc. On ne rencontre aucune femme dans la position de chef d’État. Elles sont dissimulées dans leurs quartiers et défendues d’être exposées.
Les fillettes musulmanes subissent des excisions – Mutilation qui consiste en une ablation rituelle du clitoris et parfois des petites lèvres, pratiquée chez certains peuples sur les petites filles afin de les empêcher d’éprouver un plaisir durant des rapports sexuels.
En fait, la femme est réduite à l’état de matelas, de pondeuse, de servante, d’esclave sexuelle… et j’en passe.
Issue inabordable dans toute démocratie qui œuvre pour l’égalité entre l’homme et la femme dans tous les domaines.
On se pose alors la question : comment imaginer une diversité occidentale qui inclut des musulmans ? Et comment imaginer Israël vivant avec en son sein, d’un État musulman radical, dont les aspirations sont clairement hégémoniques ? L’Égypte, la Jordanie, la Syrie, le Liban, ses voisins les plus proches sont soit monarchiques soit autocratiques. Israël est l’unique démocratie au sein d’un Proche-Orient majoritairement arabo-musulman.
Il faut avouer que ce problème ne sera jamais résolu à moins d’écarter les musulmans des pays démocratiques…
La France, les USA, l’Europe entière, le Canada – en somme, toutes les démocraties subissent à l’heure actuelle les contrecoups de leurs initiatives d’abolir l’apartheid, les frontières et d’imposer le multiculturalisme et la diversité, culminant en un afflux de cultures diverses et contradictoires, dont la plus hermétique, et la plus hasardeuse, est celle de l’Islam.
Israël n’a d’autre choix que d’écarter de lui les musulmans, s’il veut survivre. Mais c’est aussi le même cas pour toutes les démocraties.
Il faudra qu’un jour l’Islam et son Coran subissent comme toutes les religions, des réformes, des corrections fondamentales afin de le mettre au même niveau des autres religions, permettant l’ouverture d’une voie propice à une cohabitation souhaitable, harmonieuse et la paix entre les peuples.
Et ce n’est pas pour demain !!!
Par Thérèse Zrihen-Dvir, repris de son blog.