Initialement publié le 5 mai 2023 @ 15h36
Selon un rapport du coordinateur américain de la Sécurité, publié mercredi 3 mai 2023, la journaliste d’Al-Jazeera Shireen Abu Akleh, décédée en mai 2022 à Jénine probablement d’une balle perdue, n’a pas été intentionnellement visée par Tsahal.
Contrairement à ce qu’affirment les organisations terroristes arabes, l’Autorité Palestinienne et leurs soutiens à l’international, Tsahal n’a pas « assassiné » la journaliste américano-palestinienne.
Dans son rapport, le coordinateur affirme qu’aucune preuve ne soutient la thèse d’un tir intentionnel. Il confirme donc les résultats de l’enquête qui fut réalisé par Tsahal, concluant que la journaliste s’est malheureusement retrouvée prise dans un échange de tirs entre Tsahal et des « suspects identifiés comme Palestiniens armés » (communiqué de Tsahal), rappelant que l’intention des forces armées prises à partie à ce moment, n’avait que pour objectif de neutraliser leurs assaillants hostiles ayant ouvert le feu contre elles.
Cependant, dans un documentaire vidéo, dans laquelle il présente une analyse acoustique, géographique et balistique, le reporter de guerre Pierre Rehov a démontré qu’au contraire, rien ne permet de dire que les soldats de Tsahal sont en cause ^même accidentellement.
De plus, une analyse médico-légale de la balle qui selon l’AP aurait tué la journaliste, réalisée dans un laboratoire israélien sous la surveillance du coordinateur américain de la sécurité pour Israël et pour l’Autorité palestinienne et du Général de Corps d’Armée Michael Fenzel, n’a donné aucun résultat probant.
Pierre Rehov, cependant, a comparé des balles entre elles, et ne confirme pas que la balle présentée par Al Jazeera venait d’une arme israélienne.
Selon l’Armée israélienne, « L’état physique de la balle ne permet pas de déterminer avec certitude la source du tir qui a entraîné la mort du journaliste« .
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