Vous vous en souvenez, lors d’une conférence de presse conjointe avec M. Scholz à Berlin en août dernier (photo ci-dessus), Mahmoud Abbas a accusé Israël d’avoir commis « 50 holocaustes » contre des Arabes au fil des ans.
Et vous vous souvenez que Scholz, qui se tenait à côté d’Abbas, n’avait pas immédiatement réagi, mais qu’il les avait ensuite vivement critiqués.
Le chancelier allemand Olaf Scholz avait déclaré à l’époque au Premier ministre israélien qu’il condamnait toute tentative de nier ou de minimiser l’Holocauste, après que le président arabe Mahmoud Abbas ait suscité l’indignation par des remarques allant dans ce sens.
Le bureau de Scholz avait déclaré :
« Le chancelier a souligné qu’il condamnait fermement toute tentative de nier ou de relativiser l’Holocauste », a déclaré Steffen Hebestreit, porte-parole de Scholz.
« Les commentaires du président Abbas à Berlin étaient intolérables et totalement inacceptables pour (le chancelier) et l’ensemble du gouvernement allemand », a déclaré Hebestreit.
Apparemment, les condamnations étaient surtout une posture diplomatique destinée à apaiser les juifs
En effet, Israel247.org a appris que le procureur général de Berlin vient de refuser d’enquêter sur le président de l’Autorité palestinienne pour crimes de négationnisme.
Motif avancé par le parquet de Berlin : Il n’y a « pas d’indices suffisants » pour une condamnation pénale selon le § 130 (approbation, négation et minimisation des crimes nazis). Selon le parquet de Berlin, l’objectif d’Abbas était uniquement de « mettre en avant les actes commis selon lui par l’armée israélienne et de souligner leur injustice, en s’efforçant de faire une comparaison historiquement très inappropriée ».
En d’autres termes, l’accusation selon laquelle l’État juif a commis « 50 holocaustes » contre les Palestiniens n’est pas, pour le ministère public, une relativisation du meurtre de masse de six millions de Juifs, mais seulement une « comparaison inappropriée ».
Le 17 novembre, dans un document divulgué au BILD allemand, le bureau du procureur général a décidé de ne pas enquêter sur les propos d’Abou Mazen pour suspicion d’antisémitisme, négationnisme et relativisme. Selon le bureau, l’accusation selon laquelle Israël a commis « 50 « Holocaustes » contre les Arabes n’est pas une relativisation de l’Holocauste pour le bureau du procureur, mais seulement une « comparaison inappropriée ».
Ainsi, lorsque le chancelier allemand a déclaré, le lendemain des propos de Mahmoud Abbas, qu’il était « dégoûté par l’affirmation intolérable d’Abbas concernant 50 holocaustes », il ne le pensait pas vraiment. Et je ne suis pas du tout étonné.
Pourtant, « 50 holocaustes », cela signifie qu’Israël a assassiné 300 millions d’Arabes de manière industrielle et méthodique, comme les nazis. En réalité, il n’y a pas eu de génocide des Arabes. Ou s’il y en a eu, il a vraiment été bâclé : les arabes étaient plus nombreux après « l’holocauste » qu’avant la création de l’État d’Israël !
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org
Source : https://www.bild.de/politik/inland/politik-inland/schock-entscheidung-abbas-warf-israel-50-holocausts-vor-keine-straftat-82009702.bild.html
Bof… les déchets antijuifs nazis originaux, ne vont quand même pas accuser leurs dignes successeurs, de continuer ce qu’ils n’ont pas terminé…