Après le rejet de sa dernière plainte par le tribunal, le fabricant de crème glacée dirigé par deux juifs de gauche, montre à quel point la gauche est devenue partout une fabrique de haine, renonçant à ses valeurs humanistes et de tolérance.
Ben & Jerry’s a décidé de déposer une plainte modifiée d’ici le 27 septembre, affirmant que les opérations en Judée Samarie sont « incompatibles » avec ses valeurs progressistes et sa mission sociale. C’est là que vous voyez que les valeurs progressistes et les missions sociales sont devenues une machine d’exclusion, de division, qui consiste à pointer du doigt différents « ennemis de l’humanité » désignés parce qu’ils ne partagent pas les idées de la gauche soutenue par les médias.
Dans une lettre déposée mardi soir au tribunal fédéral de Manhattan, Ben & Jerry’s a indiqué qu’ils prévoyaient de déposer une plainte modifiée d’ici le 27 septembre, la réponse d’Unilever étant attendue pour le 1er novembre.
- En juillet 2021, Ben & Jerry’s a décidé de mettre fin aux ventes dans ce qu’elle considère – à tort si l’on se réfère au droit international – comme « les territoires arabes occupés par Israël », conformément au narratif constant de la presse, les qualifiant d' »incompatibles » avec les valeurs progressistes et la mission sociale qu’elle se réservait le droit de promouvoir.
- Cette décision a provoqué une réaction brutale contre Unilever, notamment des désinvestissements de fonds de pension par les Etats américains qui ont voté des lois anti organisation antisémite BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions contre Israël) de l’entreprise de biens de consommation, qui a fait écrouler sa valeur boursière, et des accusations d’antisémitisme.
- Ben & Jerry’s a intenté une action en justice le 5 juillet, affirmant que la vente de l’entreprise israélienne à un licencié local, Avi Zinger, violait l’accord conclu en 2000 par Unilever pour l’achat de l’entreprise basée à Burlington, dans le Vermont, car elle autorisait la vente de crème glacée en Judée Samarie.
- Le 22 août, le juge Andrew Carter du district de Manhattan a déclaré que Ben & Jerry’s ne méritait pas d’injonction contre la vente à Zinger parce qu’elle n’avait pas démontré qu’elle subirait un préjudice irréparable. Le juge ne s’est pas prononcé sur le bien-fondé de la poursuite.
Et Unilever a déclaré que Ben & Jerry’s n’avait pas le pouvoir d’arrêter ou de défaire la vente, qui a déjà été conclue.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : Ynet