Il existe un certain nombre de nouveaux scandales liés à l’antisémitisme :
– Scholz/Abbas, dokumenta, Blume, @beauftragtgg. De plus, Olaf Scholz est pro-régime iranien/pro-OLP.
L’ère post-Merkel a commencé
Un nouveau gouvernement a été installé en Allemagne, marquant la fin de l’ère Angela Merkel. Malgré ses nombreuses réalisations en tant que chancelière, l’Allemagne n’a pas réussi à endiguer les attaques antisémites des néo-nazis et des islamistes ni la diabolisation d’Israël par la gauche.
Son administration a rarement dénoncé la négation de l’Holocauste par le régime des Ayatollahs, ni les appels fréquents du régime à détruire l’État juif.
Des statistiques stupéfiantes
- En juin, le gouvernement allemand a confirmé un nombre stupéfiant de crimes haineux antisémites en 2020 – 2 275.
- Dont au moins 55 avec violence.
- Plus de 1 000 incidents antisémites ont été enregistrés à Berlin en 2020, soit une hausse de près de 20 % par rapport à l’année précédente.
- Samuel Salzborn, commissaire à l’antisémitisme pour l’État de Berlin
a admis :
« Une chose est claire : Berlin a un problème d’antisémitisme ».
Les commissaires à l’antisémitisme combattent-ils, ou facilitent-ils la haine des juifs ?
Un autre commissaire allemand à l’antisémitisme a apparemment oublié que son travail consiste à combattre l’antisémitisme et non de l' »aimer ». Michael Blume, Commissaire contre l’antisémitisme pour le Baden-Württemberg, a poursuivi, depuis 2019, une activité sur les médias sociaux où il a « liké » une publication Facebook comparant les sionistes aux nazis.
Il a, depuis, continué à « liker » et à retweeter des comptes Twitter anti-juifs, anti-israéliens et conspirationnistes.
De manière inexplicable, le gouverneur du parti vert de l’État allemand de Baden-Württemberg, Winfried Kretschmann, et Thomas Strobl, ministre de l’Intérieur de l’Union chrétienne-démocrate, ont permis à Blume – le commissaire chargé de combattre l’antisémitisme, de continuer à se livrer à ces activités antisémites et anti-israéliennes sur les médias sociaux.
A l’inverse, l’homologue de Blume à Hambourg, Stefan Hensel, a exhorté le gouvernement de sa ville à fermer le Centre islamique de Hambourg, contrôlé par le régime iranien, car il attise l’antisémitisme.
Blume n’a pas fait appel à la métropole du Bade-Wurtemberg, Freiburg, pour qu’elle mette fin à son partenariat avec la ville jumelle d’Ispahan du régime iranien,
une ville dont l’administration parraine des appels à la destruction de l’État juif chaque année, lors de sa manifestation annuelle de la journée d’al-Quds.
Alors que Felix Klein, le commissaire fédéral à la vie juive et à la lutte contre l’antisémitisme, a exhorté les banques à ne pas ouvrir de comptes aux groupes BDS, Blume n’a pas réussi à demander à la Landesbank Baden-Württemberg (LBBW) à fermer le compte du groupe anti-Israël le plus puissant du Baden-Württemberg et d’Allemagne, Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), du Comité Palestine de Stuttgart.
Antisémitisme à la radiodiffusion publique allemande
Pendant ce temps, la puanteur de l’antisémitisme a atteint le radiodiffuseur public allemand Deutsche Welle.
Le Süddeutsche Zeitung a révélé un scandale impliquant des commentaires antijuifs et banalisant l’Holocauste par des membres de son service arabe.
- Un message faisait référence à l’Holocauste comme à un « produit artificiel » et ajoutait que les Juifs continueraient à contrôler « le cerveau des gens à travers l’art, les médias et la musique ».
- Un autre a déclaré que « toute personne impliquée avec les Israéliens est un collaborateur et chaque recrue dans les rangs de leur armée est un traître et doit être exécuté. »
Deutsche Welle a été contrainte de suspendre quatre de ses employés du service arabe et un freelance, en attendant une enquête menée par l’ancienne ministre allemande de la Justice, Sabine Leutheusser-Schnarrenberger.
© Benjamin Weinthal, avec son aimable autorisation