Toute ressemblance avec des faits existants ou ayant existés n’est pas du tout fortuite.
Un propriétaire terrien avait deux fils issus de deux mariages différents.
L’ainé était malingre, mal assuré, timide, empêtré dans ses membres trop frêles et presque s’excusant d’exister. Le cadet au contraire était fort, sûr de lui, de son bon droit et vindicatif.
Visiblement le père préférait le cadet puisqu’au moment de partager le domaine en héritage il laissa 80% au cadet et seulement 20% à l’ainé et en plus que des mauvaises terres. L’ainé aurait pu contester ce partage inéquitable, mais compte tenu de son caractère accommodant et de la peur que lui inspirait son demi-frère, il accepta la volonté du Père.
Et là, contre toute attente, c’est le cadet qui contesta l’héritage, prétextant que la première épouse était illégitime et que ses descendants n’étaient que « des singes et des porcs ».
Un juge saisi de cette affaire, et n’arrivant pas à départager les plaideurs, demanda à l’ainé de renoncer à la moitié de sa part pour éteindre la querelle. L’ainé déjà fortement lésé, accepta de nouveau, dans un geste de conciliation et pour ne pas entrer en conflit ouvert avec son cadet. Et à nouveau, le cadet trouva que le jugement n’était pas acceptable et que son ainé n’avait droit à rien « pas même un grain de sable ».
Là dessus et sans plus attendre, il entra avec ses hommes de main dans le domaine prévu pour l’ainé, pour le chasser manu-militari.
Alors un miracle se produisit. Bien que physiquement moins fort que son cadet, l’ainé eut le dessus, arrivant même à accroitre légèrement sa part du domaine !
Près de 70 ans ont passés, et bien qu’ayant 90% du domaine, le cadet continue sans désemparer à contester cet héritage.
A votre avis, dans cette affaire, où se trouve le bon droit ?
© Serge C. pour Israël24/7


la naissance d’Israel à qui une certaine population conteste toujours son existence, c’est dans leurs genes et dans leur livre de chevet incréé