Toute tentative de mettre la population hors de danger en l’envoyant se réfugier dans un pays voisin est condamnée, notamment par ceux qui refusent de qualifier le Hamas, l’organisation terroriste islamique qui a déclenché cette guerre, pour ce qu’elle est.
Mettre la population à l’abri est traduit par « nettoyage ethnique », alors que la laisser sur place permettrait un « génocide ». Dans tous les cas, la faute va aux juifs.
En réalité, ceux qu’on appelle aujourd’hui « Palestiniens » ont de la chance que leurs ennemis soient les Juifs. S’il s’agissait de quelqu’un d’autre, le monde ne s’y intéresserait pas. Il y a des guerres et des massacres partout, en ce moment (ailleurs qu’en Ukraine), mais tous les regards sont tournés vers Israël et Gaza.
Autre chance unique au monde pour eux, toujours grâce aux juifs : montrez-moi des « réfugiés » qui vivent dans des tours modernes, au bord de la mer Méditerranée, sur une magnifique bande de terre au climat parfait, avec des plages de sable à leurs pieds, dont le statut de réfugié se transmet de génération en génération, et qui reçoivent sans rien faire des milliards (littéralement) d’aide du monde entier depuis toujours.
Ce qui donne son sens à cette guerre :
- Elle repose sur la haine des Juifs et strictement rien d’autre.
- Toute la population arabe de Gaza peut être sacrifiée tant que les Juifs sont tués et que le seul État juif est éradiqué.
- Dès le début du conflit, le pays le plus proche, l’Egypte, a construit des murailles infranchissables à la frontière pour empêcher les Gazaouis de fuir vers l’immense et presque inhabité Sinaï, et a été salué pour cela.
- Le monde musulman et la majeure partie de l’Europe mentent en niant les points 1 et 2.
- Bonus : la haine des Juifs unit les objectifs des djihadistes et des antisémites dans une alliance impure.
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24/7.org


C’est quand même dingue, ces camps de réfugiés arabes de Palestine (j’ai bien compris que les Palestiniens étaient juifs) résultant du refus des pays arabes d’origine de les accueillir et de l’acceptation de leur prise en charge par l’ONU sous prétexte que c’était par décision de ladite ONU qu’Israël avait été crée. Ils étaient 750.000 en 1948.
C’est comme si les Israéliens avaient enfermé les 850.000 juifs chassés des pays arabes entre 1948 et 1956 !
C’est comme si les Français avaient mis dans des camps le million de rapatriés d’Algérie en 1962, comme si les Serbes avaient parqué 200.000 des leurs virés du Kosovo en 1999 ou si l’OTAN, qui avait crée le Kosovo, avait installé ces camps en Serbie, comme si les Grecs avaient enfermé les 2 millions de leurs congénères virés par les Turcs de Thrace en 1924, comme si les Pakistanais avaient mis dans les camps 9 millions de leurs qui vivaient en Inde en 1947, lors de la partition, comme si on avait transformé l’Alsace et la Lorraine en vaste camp de réfugiés allemands sous prétexte qu’ils avaient eu cette nationalité entre 1970 et 1918, etc …
C’est quand même un déni de solidarité citoyenne inédit dans l’histoire, dans le seul but de créer des foyers infectieux pour empoisonner Israël.
Ben Gourion n’avait pas vu la situation ingérable qu’il laissait s’installer en 1948 ?
Pas plus qu’Ariel SHARON en n’exigeant pas la reprise de Gaza par les Egyptiens en 2005 ?