La jeune fille arabe de 14 ans arrêtée la semaine dernière pour avoir poignardé une jeune femme juive dans le dos devant ses enfants, lors d’une attaque non provoquée, s’est avérée être en possession de manuels scolaires approuvés par l’Autorité palestinienne (et probablement financés par l’Union européenne), qui contenaient une rhétorique violente sur les Juifs et Israël, lorsqu’elle a été placée en garde à vue par la police.
IMPACT-se, un groupe de surveillance israélien qui a de nombreuses fois tiré la sonnette d’alarme sur le contenu haineux et antisémite des manuels scolaires approuvés par l’Autorité palestinienne, a déclaré dans un communiqué que les livres trouvés dans le sac de la jeune fille de 14 ans décrivaient la violence palestinienne comme « naturelle » et la « résistance légitime », et qualifiaient une attaque terroriste palestinienne contre des Israéliens de « fête barbecue ».
Marcus Sheff, le PDG d’IMPACT-se, a déclaré que ce n’était pas une coïncidence si l’auteur de l’attaque avait en sa possession ces manuels violents.
« Ces manuels sont stratégiquement créés par l’AP pour promouvoir une culture de la haine et de la violence chez 1,3 million d’enfants », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Les groupes israéliens se plaignent depuis longtemps que les manuels de l’AP contiennent une rhétorique antisémite et anti-israélienne qui encourage la violence contre les Juifs et les Israéliens, et un certain nombre d’études de l’Union européenne ont confirmé que l’incitation est monnaie courante dans le matériel éducatif, laquelle Union européenne continue de financer et de ne rien faire.
« J’espère vraiment que les pays qui soutiennent encore le ministère palestinien de l’Education et l’UNRWA sont très attentifs et en tirent les conclusions qui s’imposent », a-t-il ajouté.
L’école que fréquente la suspecte de l’attaque à l’arme blanche a également la réputation de promouvoir une idéologie extrémiste néo-nazie.
Lubna Abdeen, une enseignante de l’école, a qualifié la police israélienne de Jérusalem de « forces d’occupation » lorsqu’elle s’est adressée à un site d’information arabe au sujet de l’arrestation de l’étudiant.
Dans une interview accordée à Al-Qastal, Lubna Abdeen a déploré que la police ait « soudainement pris d’assaut l’école et fait une descente dans les salles de classe », mais elle n’a même pas évoqué l’attentat, ni exprimé une quelconque empathie pour la maman victime de l’agression à l’arme blanche, qui s’est retrouvée avec un couteau de 30 cm planté dans le dos, devant ses enfants, et elle n’a pas non plus dit qu’elle désapprouvait l’attentat.
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Source : World Israel News
