Initialement publié le 29 novembre 2021 @ 8h50
Comment briser la propagande et les mensonges des médias et du monde académique ? Revenir à la période où tout ce beau monde mentait moins.
Ce qui était écrit dans le dictionnaire de référence de l’après Guerre, le Larousse (qui lui même ne se prive pas de faire désormais de la désinformation dans ses pages), permet de remettre les pendules à l’heure.
Voici ce que l’on peut lire dans le Larousse de 1957 sous le mot : Palestine.
PALESTINE, contrée du Proche-Orient, entre le Liban au N., la mer Morte au S., la Méditerranéee à l’O, et le désert de Syrie à l’E. C’est une bande de terre étroite, resserrée entre la mer et le Liban, et parcourue par le Jourdain. Appelée aussi par la Bible Terre de Chanaan, Terre promise et, de nos jours, Terre sainte, Judée. (V CARTE PROCHE-ORIENT.)
Vers le XXIIIe s. av. J.-C., les Sémites de la Chaldée méridionale remontèrent l’Euphrate : les uns se fixèrent en Mésopotamie, les autres franchirent le fleuve sous la conduite d’Abraham, d’autres enfin passèrent le Jourdain ou s’établirent en Egypte, dans le Pays de, Goschent, et ils y demeurèrent tant que subsista dans la vallée du Nil la domination des Pasteurs. Lorsque ceux-ci eurent été renversés par les rois nationaux, les Israélites quittèrent l’Egypte sous la conduite de Moïse, errèrent dans le désert et conquirent peu à peu la Palestine sur les races qui s’y étaient établies avant eux : Philistins et autres. La période qui s’écoula depuis la mort de Josué jusqu’à l’avènement de Saül, premier roi d’Israël, fut remplie par des luttes entre les Hébreux et les idolâtres. A Saül succéda David, qui fit de Jérusalem le centre de son empire et transmit son pouvoir à Salomon, constructeur du Temple. A la mort de Salomon (vers 930 av. J.-C.), les tribus ne s’entendirent pas sur la proclamation de son successeur, et la Palestine se trouva divisée en deux royaumes : celui d’Israël et celui de Juda. Les Chaldéens ayant pris Jérusalem, les Israélites furent emmenés captifs sur les bords de l’Euphrate, jusqu’à ce que Cyrus, maître de Babylone, leur per-mit de revenir en Palestine. Les Israélites passèrent ensuite sous la domination macédonienne, puis sous celle des Séleucides, qui les persécutèrent pour leur foi ; ils se soulevèrent, se rendirent maîtres de Jérusalem (164 av. J.-C.), proclamèrent Simon Macchabée (140 av. J.-C.), mais ne surent pas éviter les guerres civiles, qui permirent à Rome d’intervenir et de placer les rois de Jérusalem sous le protectorat romain. En 70 de notre ère, la capitale, Jérusalem, s’étant soulevée contre Rome, fut prise par Titus. Une dernière révolte fut étouffée sous Adrien (135) . Dès lors, la Palestine a subi le sort de la Syrie. Elle a formé, au temps des croisades, l’éphémère royaume de Jérusalem. Les accords franco-anglais de 1916 la placèrent sous mandat britannique. Les Anglais se sont efforcés d’y fonder un «foyer juif».
Après la Seconde Guerre mondiale, de nouveaux confits éclatèrent entre Arabes et Juifs. Le partage de la Palestine en deux Etats, arabe et juif, a été reconnu en 1949. V. ISRAEL et JORDANIE.
Dans un précédent article, nous avons présenté le mot Israël, et dans le prochain, nous vous présenterons ce qui est écrit au mot Jordanie.
Merci à Didier Trosset pour la transmission de ces scans.
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Merci ! Vous « fouillez les vieux papiers, quelle idée », mais c’est tout à fait intéressant comme information !
Il me semble qu’une information objective est aussi nécessaire sur… « la bande de Gaza » : les merdias mainstream et la désinformation ambiante laissnet entendre (je n’oserai dire qu’ils affirment, hein ?!) qu’il y a là une ville, Gaza créée aux environ de 1500 ans « avant notre ère » et que les pauvres-populations-opprimées qui y sont actuellement en descendent en droite ligne et sans discontinuer, en gros. Les Philistins, toussa…
Ce qui me parait intuitivement être un raccourci saisissant d’inexactitude (les Philistins, par exemple, étant saur erreur de ma part un peuple maritime qui a disparu, s’est éteint, par exemple et au passage). Lequel fait le lit d’une « légitimité » commode des pôvres populations gazaouies, etc, etc.
Bref, la remise des pendules à l’heure serait judicieuse, sur ce point qui résonne fallacieusement et intuitivement dans l’opinion publique.
Merci par avance, pour ce rayon de vérité supplémentaire à venir…