Nous vivons une étrange époque – Orwellienne – quand tous les rôles administratifs, militaires, sociaux, judiciaires sont inversés. Il devient apparent avec chaque jour qui passe, qu’un groupuscule oligarchique – qui se prend pour l’élite, exerçant un pouvoir coercitif, s’est emparé de tous les systèmes afin d’arriver à ses fins.Quelles sont ses fins ? La disparition totale de l’État juif d’Israël et la création d’une démocratie identique à celles défaillantes d’Europe.
Tout aurait bien marché, si le noyau coriace du juif, orthodoxe ou approximativement, ne se sentait pas prêt à renoncer à son patrimoine, à sa foi, à ses couleurs et à ses terres… La tradition, juive, bien qu’elle soit en partie transmise de génération en génération, par ceux qui se disent juifs athées, sert, contrairement aux prévisions, à ouvrir l’horizon des jeunes qui, curieux et souvent rebelles, refusent de suivre pas à pas leurs parents… comme nous le décrit l’auteur dans son œuvre : Le défi d’être… Juif.

Jérémie : “Être juif” a répercuté cette “malédiction” dans leur subconscient depuis la nuit de l’Exil. Mais en vérité, en est-ce une ? Certains luttent pour se défaire de leur judéité, d’autres l’acceptent et bénissent ce statut. Pour les non-juifs, c’est un prétexte de dérision et de détestation. “Le Juif” semblerait déclencher contre lui la violence, la raillerie, voire l’assassinat pur et simple.
Ces jeunes n’hésiteront pas à ouvrir la boîte de Pandore et à se lancer dans la recherche de leurs racines, comme le fit le héros de l’œuvre, Jérémie. Ce qu’ils découvriront les subjuguera et les emportera vers l’histoire, la bravoure, les miracles, le beau et le chamarré, l’aventure et la justice, et en fera des soldats dans cette armée hétéroclite où on le rencontre : parmi ses frères soldats qu’ils soient religieux, laïc, chrétien, musulman, druze, bédouin. On a du mal à les différencier. On les surprend, chacun faisant ses prières côte-à-côte, pour ensemble former un seul et même cercle, chanter et danser une Hora frénétique, le soir face aux vagues de l’océan. « Je suis israélien nous dit le druze, le musulman, le bédouin, le juif, et Israël est ma patrie ! Je la défendrais jusqu’à ma dernière goutte de sang ». On en perd son hébreu.
Car c’est ça être Juif – c’est s’accepter, se respecter et croire que tout est possible, qu’il nous suffit de voir en l’autre son prochain, une créature de Dieu – car c’est bien ce que nous sommes tous. Mais, il manque un élément essentiel à cet aspect et c’est la réciprocité. Elle n’existe qu’au sein de ceux qui veulent vivre et croient en la vie, au bonheur et à la paix.
La sortie du silence de cette masse qui se dit juive contredit les plans machiavéliques de l’État profond qui s’est emparé de toutes les positions clefs de l’État pour l’assujettir en temps voulu. Il n’a jamais compté sur un réveil brusque de ce peuple juif – plus ou moins – qui ambitionne la restitution de ses identifiants.
Et c’est ainsi, que Jérémie décrit ses réflexions intimes dans l’œuvre, « Le défi d’être… JUIF » :
Mais enfin où étaient les célèbres services secrets d’Israël ? Où était le Mossad, l’armée, le ministre de la défense ? Le Shabak – agence de sécurité israélienne ? S’étaient-ils endormis ? C’est trop gros à avaler. Je venais à peine d’interrompre le remâchement de mes énigmes concernant le Judaïsme que me voilà face à face au soupçon monstre d’un complot qui inclut des israéliens, ceux-là mêmes qui se disent juifs, claustrant certains éléments étrangers à Israël. Cela m’avait d’ailleurs effleuré lors du déclenchement des prétendues manifestations, de leur intensité et férocité pour une réforme judiciaire, qui en fait, ciblait la destitution du Premier ministre, Bibi Netanyahu et sa clique orthodoxe de la droite et extrême droite.
Même le Président des USA Joe Biden s’est permis de les critiquer… Je me demande s’il n’avait pas mis la main à la pâte ! Et si c’était un complot ? Cela, en tous les cas, possède tous les ingrédients : L’énorme financement de ces manifestations, leur organisation, leur perpétuation, harassement… C’est beaucoup trop pour que cela ne soit qu’une simple révolte contre une réforme judiciaire !
Je me sentis brusquement mal. D’un côté, je cherchais désespérément à ne pas approfondir les faits – trop lumineux et trop préjudiciables – appréhendant les résultats que je risquais d’en déduire, et d’un autre, l’horreur de la trahison que cela pourrait dissimuler entre le juif et celui qui ne l’est pas sincèrement et profondément. À contre-cœur, je me mis mentalement à joindre les pièces de ce puzzle.
Aujourd’hui, les victimes de ces manigances sont sur le banc des accusés, contrairement à tous ceux qui ont contribué effrontément au déclenchement du massacre du 7 octobre 2023, qui sont libres de tout châtiment, de toute punition, hurlant sur les toits qu’ils sont les seuls à être en droit d’agir comme ils le font. Ils ont même eu l’audace d’accuser des soldats israéliens de viol des détenus de Gaza et d’en créer un scandale, alors qu’ils ne possèdent aucune preuve tangible de ce prétendu outrage. On gratte le sol pour essayer de rassembler quelques éléments pour traîner en justice tous ces héros qui ont combattu vaillamment l’ennemi, l’envahisseur.
C’est une honte que tout individu normal et honnête ne peut supporter. L’État profond qui s’est formé depuis des décennies s’est ramifié, mais a été à temps bloqué par les juifs de droite et ceux qui refusent de suivre la cavalcade infernale des progressistes. La majorité juive réclame son droit à la justice et au châtiment de tous ceux qui ont directement ou indirectement participé au complot qui a précédé le massacre du 7 octobre.
Comme le certifie Jérémie dans l’œuvre de Thérèse : L’attaque du 7 octobre 2023 a été, sans nul doute, sciemment gardée sous silence par tous les cadres impliqués. Il est impossible que tout un engrenage huilé et efficace en tout temps, en tout lieu, en dehors et en dedans d’Israël, pour que cette attaque ne soit que le fruit du hasard, d’un assoupissement ou d’une erreur d’analyse des faits sur le terrain. Le complot se dessine devant mes yeux ahuris. Ce qui le rend plus évident, c’est aussi la lente et tardive réaction du système militaire terrestre et aérien. On croirait que cette attaque-surprise avait été consentie ( ?), voire préméditée dans le but d’octroyer une légitimité quelconque pour une riposte de grande envergure ?! J’ai eu beau peser les pour et les contre, je demeure dans cet espace étroit et figé de la stupeur.
En fait, moi Jérémie, je suis assis sur la bouche d’un volcan. Beaucoup de têtes tomberont...
Et en effet…
Thérèse Zrihen-Dvir
Pas de répit envers les successeurs d’Amalek !! Pas évident de se renforcer en actions offensives même s’il y a des pertes, mais c’est nécessaire pour un futur proche plus assuré. Israël, n’oublie pas que IHVH est TON MAÎTRE & PROTECTEUR en même temps. VA AVEC LA FORCE QUE TU AS, car c’est Ton Créateur qui te l’as fournie. Modèle et Lumière des nations, TU le restes parce que le Créateur l’a décidé ainsi. ALORS GLOIRE à IHVH et à LUI-SEUL !!
gilbert.bernard, chrétien évangélique français, ami inconditionnel d’Israël
C’est aussi mon questionnement, vu de loin, je n’osais pas trop y croire, il y a des choses qui étonnent quand on parle de sécurité au sujet d’Israël . Cet article me confirme dans mes doutes, enfin je n’ai plus de doutes, merci Thérèse
le 7 octobre dernier rappelle la guerre de Kippour en octobre 1973, les responsables s’etant endormis sur leurs lauriers, le peuple d’israel a payé le prix fort dans les deux cas, sauf que le 7 octobre n’aurait jamais du se produire au vu de la guerre surprise de 1973 qui aurait du servir de leçon pour les siècles à venir, avec les pays environnants, même en temps de paix, Israel devra toujours être sur ses gardes et toujours être attentif à son environnement. Les arabes ont un livre de chevet, le Coran dont beaucoup de versets incitent aux meurtres des juifs, tant que ce livre existera dans sa forme actuelle, Israel sera toujours en danger, ne jamais l’oublier.Voici, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël.