Qu’Israël procède à sa lutte contre une islamisation rampante de tout son territoire et du continent entier – sous les étendards du Hamas, du Hezbollah, de L’Autorité palestinienne, des Houthis, des iraquiens, des syriens, des Mollahs d’Iran… En fait, c’est le monde démocratique qui bascule partout et qui s’amuse à se bander les yeux face à sa lente substitution en théocratie islamique.
Ne vous détournez surtout pas de la signification de ce nouveau statut qui tend à s’incruster dans notre subconscient.
L’Europe et les USA subissent les conséquences d’une population musulmane grossissante qui réclame sans ambages ses droits sur le sol et autres, mais aussi hurle son antisémitisme qu’elle espère réanimer au sein des mécréants et qui à certains niveaux, nous révèle une répercussion désolante et impardonnable.
Car enfin, que nous l’admettons ou non, les chiffres sont là et ils seront ceux qui feront tôt ou tard, de toutes les démocraties bénévoles, compatissantes et candides, des terres musulmanes.
Je vois mal une Europe en lente disparition, se rebeller et tenter de se débarrasser de son contingent musulman devenu un problème sérieux tant pour ceux qui se croient ou se disent libéraux, athéistes, catholiques, juifs ou autres, et qui naturellement, se sentent dans leur droit légitime dans leur patrie.
Que l’islamisation du monde dit libre et démocratique ait été un projet musulman ou pas, les chiffres ne mentent pas et nous laissent entrevoir une majorité islamique qui imposera, qu’on le veuille ou non, ses besoins et ses ambitions, mais aussi ses lois et ses régimes.
La bataille à la Don Quichotte d’Israël ne sauvera jamais le monde libre de sa chute. Grâce au multiculturalisme et à la mondialisation, Israël est lui-même infecté à des niveaux désolants. Rien de surprenant que des arabo-musulmans d’Israël, se transforment en renégats et militent ouvertement pour la disparition d’un État juif, dont ils projettent de faire un État islamique. Ne dit-on pas, plus on est de fous plus en rit, ils sont secondés par tous ces juifs infectés par le progressisme et l’occidentalisme aveugle.
La foi n’a réellement rien à voir avec cet aspect d’islamisation en dépit des instructions du Coran, mais surtout, est le reflet d’un abîme de frustration, d’arrogance, de prestige, de pouvoir, de force politique…
Que les démocrates veulent l’emporter, eux aussi sont vus comme « impérialistes » et sont pour autant, détestés par les arabo-musulmans ( ?) et par leurs propres concitoyens, d’une moins, en grande partie.
En fait, il n’existe aucun régime qui puisse répondre aux besoins d’un monde en perpétuel transformation, mutation, progrès…
Alors, la guerre est ouverte et elle transformera le monde en flots sanguins et que le plus fort l’emporte…
Pour l’instant, les vents tournent en faveur de l’Islam et de sa quantité virulente d’adeptes volontaires, bénévoles, ou convaincus. Le nucléaire n’est aussi qu’une façon de convaincre ceux qui croient encore en un peu de bon sens au sein des populations « normales ».
Deux solutions se présentent à l’Occident :
- La lente occidentalisation des pays arabo-musulmans
- L’exposition et saturation des arabo-musulmans au contact avec l’Occident, le libéralisme et l’informatique. Car, enfin, ces arabo-musulmans ne resteront pas éternellement ignorants et feront un jour, que nous espérons proche, usage de l’informatique pour mieux assimiler les règles des régimes existants, des religions et du particularisme de chacun d’entre nous.
Les Iraniens aimeraient bien se débarrasser de leurs mollahs asphyxiants et rejoindre la communauté internationale démocratique dans son ensemble. Nombreux sont les pays arabo-musulmans qui tentent d’ouvrir une brèche démocratique au sein de leur population, pourtant assez réfractaire, superstitieuse et majoritairement illettrée.
Tout comme les pays arabo-musulmans, Israël se rattache à ses racines religieuses et ethniques afin de conserver son identité juive… autrement Israël, n’aurait aucune raison d’exister. De là, la scission entre le peuple juif israélien croyant, et celui qui ne croit en rien, hormis qu’à ses propres convictions.
En réalité, la religion est un capital personnel qui ne doit jamais être imposé.
Notes choisies d’une entrevue avec l’écrivain Syrien Adonis, né Ali Ahmed Saïd Esber- Le Temps.
« Le monde arabe est divisé entre l’occidentalisation et l’obscurantisme »
- Le problème, c’est qu’au-delà de la religion, il n’y a pas d’autre point commun dans cet espace. Or, de mon point de vue, la religion n’est pas productrice d’identité. C’est en créant sa propre œuvre que l’être humain crée son identité particulière. On n’hérite pas d’une identité, on la crée. La religion vient du passé, tandis que l’identité est dans l’avenir. Et dans cette optique, le poids de la religion ne peut être qu’une entrave à penser l’avenir. Dans cette manière de concevoir l’identité, comme le font par exemple les mystiques, l’autre prend une place essentielle. Il n’est plus un élément extérieur, mais il devient constitutif de moi-même.
- Cette vision que vous défendez n’est pas très répandue à l’heure actuelle…
- C’est l’un des aspects du vide culturel qui règne actuellement dans les pays arabes. Ils sont entièrement soumis à la religion institutionnalisée. Je n’ai rien contre les croyances individuelles, et j’accepte l’idée que l’être humain puisse avoir besoin d’une certaine doctrine pour gérer son rapport avec l’inconnu. Mais lorsque cela se transforme en religion institutionnelle, le danger c’est qu’il n’y ait plus d’autres références que religieuses. Or, ce cadre est complètement étranger aux préoccupations de la jeunesse. Dans le monde arabe, cela ne laisse plus aucune place à une culture créatrice qui pourrait participer aux autres cultures du monde. Il n’y a pas une seule université arabe à figurer parmi les grands établissements mondiaux. Si le savoir est lié à la seule religion institutionnelle, il n’y a plus de science et plus de création.
- C’est ce problème qui est à l’origine de l’irruption de l’Etat islamique ?
- Il n’y a plus, désormais, un noyau d’identité arabe. Le monde arabe est aujourd’hui divisé entre l’occidentalisation et l’obscurantisme, et ceux qui essaient d’exister entre ces deux pôles sont systématiquement marginalisés. Les Arabes sont devenus comme des pantins sans personnalité, manœuvrés par le jeu de plus puissants qu’eux.
Mais entre-temps, le monde s’islamise et subit les contrecoups de cet aspect que l’Occident préfère ignorer.
Le choix qui reste aux Occidentaux est soit : être tolérant, patient, persévérant, souffrir la perte d’espace, les attaques, les meurtres, l’arbitraire, ou alors, combattre comme le fait Israël simultanément sur sept fronts, tenant fermement le drapeau israélien, en déclarant solennellement « Shéma Israël… HaShem Elokeinu – HaShem Ehad – Israël est notre terre promise par Dieu Lui-Même ».
Qui peut les démentir ?
© Thérèse Zrihen-Dvir
« La bataille à la Don Quichotte d’Israël ne sauvera jamais le monde libre de sa chute » ?
Pourtant, si un Macron (petit pantin nuisible haï par les français…) crache sur Israël, par veulerie abjecte, il semble bien que le combat d’Israël soit de nature à réveiller les consciences et à rendre un espoir.
Beaucoup de chrétiens expriment leur admiration pour le courage d’Israël qui les inspire!
Oui, la terreur islamiste esclavagiste est vulnérable par sa stupidité fanatique, et elle s’effondre face à la détermination des êtres libres: c’est ce que démontrent les victoires d’Israël
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Le modernisme ou la technologie les musulmans s`en servent, pour filmer et cumuler les horreurs et barbaries de leur charia, ils ne sont pas pour autans civilisés…1500 ans de retard!!!!sur la civilisation!!
Quel heritage l Islam laisse au monde avec presque deux milliards d’adeptes ,du sang ,des larmes et seulement 4 ou 5 prix Nobels dont un décerné au terroriste Arafat .soit
0.0000002 % de prix Nobel pour une population de presque 25% comparativement aux juifs qui détiennent près de 30% pour une population de.0.2% de la population mondiale .Leurs seul attrait pour l’occident c’est qu’ils sont assis sur d’immenses puits de pétrole