Ah, la bonne conscience.
La bonne conscience qui nous exonère de nos péchés et qui nous permet de critiquer, de juger et de condamner les autres en s’affranchissant de toute autocritique.
Une partie de la jeunesse américaine et australienne scande, en défense des palestiniens pour ne pas dire du Hamas, des slogans tels « from the river to the see », « free Palestine ».
Mais qu’elle donne l’exemple.
Vous, les américains, qui profitez du génocide, physique, social et culturel, des populations amérindiennes par vos aïeux,
-vous devriez retourner, pour les whasps de l’Yvy League, en Angleterre.
-pour les étudiants catholiques, et pour les mêmes raisons, en Irlande.
-vous les afro-américains, bien que venus à votre corps défendant, vous avez eu le temps de prendre conscience de cette situation et donc de décider de rentrer en Afrique.
-et il en va de même pour les Latinos.
Et les populations autochtones chanteront « from the ocean to the ocean », et « free america »
Nous pourrions parler également de ces jeunes australiens qui supportent parfaitement l’histoire, et l’état actuel, des Aborigènes, sans parler des néo-zélandais avec les Maoris.
Et pour changer de sujet, peut-être, peut-on penser que les Kanaks qui réclament leur indépendance ne veulent pas finir, comme les indiens, les aborigènes, les maoris et tant d’autres, dans les poubelles de l’Histoire.
Ah, la bonne conscience.
La bonne conscience qui nous exonère de nos péchés et qui nous permet de critiquer, de juger et de condamner les autres en s’affranchissant de toute autocritique.
Une partie de la jeunesse américaine et australienne scande, en défense des palestiniens pour ne pas dire du Hamas, des slogans tels « from the river to the see », « free Palestine ».
Mais qu’elle donne l’exemple.
Vous, les américains, qui profitez du génocide, physique, social et culturel, des populations amérindiennes par vos aïeux,
-vous devriez retourner, pour les whasps de l’Yvy League, en Angleterre.
-pour les étudiants catholiques, et pour les mêmes raisons, en Irlande.
-vous les afro-américains, bien que venus à votre corps défendant, vous avez eu le temps de prendre conscience de cette situation et donc de décider de rentrer en Afrique.
-et il en va de même pour les Latinos.
Et les populations autochtones chanteront « from the ocean to the ocean », et « free america »
Nous pourrions parler également de ces jeunes australiens qui supportent parfaitement l’histoire, et l’état actuel, des Aborigènes, sans parler des néo-zélandais avec les Maoris.
Et pour changer de sujet, peut-être, peut-on penser que les Kanaks qui réclament leur indépendance ne veulent pas finir, comme les indiens, les aborigènes, les maoris et tant d’autres, dans les poubelles de l’Histoire.