“Nous pensions, et nous pensons toujours, que la décision d’arrêter la législation et la réforme à cause des menaces de refus, d’anarchie et de grèves sauvages est une erreur”, a déclaré le parti dirigé par le ministre des Finances Smotrich.
“Nous respectons la décision du Premier ministre et nous le soutenons en tant que leader du camp national, et nous sommes engagés dans la poursuite de l’existence du gouvernement, qui est un bon gouvernement de droite, avec des défis majeurs avec la réforme du système judiciaire, le rétablissement de la sécurité individuelle, avec les avant-postes, la baisse du coût de la vie, le renforcement de l’identité juive et plus encore.
Nous sommes désolés de la fracture au sein de la nation et nous soutenons le dialogue pour parvenir à un large consensus, mais nous ne permettrons à personne d’opposer son veto au choix des citoyens d’Israël lors des élections en faveur de la réforme du système judiciaire”.
Le parti de Smotrich a promis :
“Nous continuerons, avec l’aide de Dieu et de la majorité des gens qui soutiennent ce projet, à faire avancer les réformes du système judiciaire comme nous nous y sommes engagés avant les élections, et nous apporterons les changements nécessaires pour rendre le pouvoir au peuple et corriger les injustices du système judiciaire.”
Le ministre des finances, Bezalel Smotrich, a demandé à ses partisans de “garder la tête haute” :
“Relevez la tête. Après des semaines de piétinement et de silence, le camp de la majorité nationale s’est réveillé aujourd’hui et a fait entendre sa voix et ce n’est vraiment pas pour rien. La réforme va progresser, et la correction si importante du système judiciaire et de la démocratie israélienne sera effectuée. Ces énergies, personne ne peut les éteindre, et cette roue, personne ne peut la faire reculer”, a déclaré M. Smotrich.
En attendant, de formidables forces, parfaitement coordonnées, ont fait reculer la démocratie. Et les juges ont toujours le pouvoir.
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