Après qu’il ait été annoncé que le film complotiste anti-israélien jordanien “Farha” serait diffusé cette semaine sur Netflix, il sera projeté au cinéma El Saraya de Jaffa. Le ministre de la Culture Hili Trooper a réagi à la décision du cinéma de projeter le film et a déclaré : “nous devons examiner le budget d’une institution culturelle qui projette le film”.
Le film, réalisé par Darin J. Salam, présente les soldats des FDI qui commettent des atrocités pendant la guerre d’indépendance de 1948. Selon le réalisateur, l’histoire est basée sur les expériences d’une femme nommée Radiya, qui a fui en Syrie pendant la guerre.
“Farha” tente de présenter la “Nakba” du point de vue d’une jeune fille arabe qui se cache dans le sous-sol de sa maison et regarde les soldats israéliens occuper le village où elle vit et maltraiter les Arabes.
Dans la scène la plus difficile du film, qui a représenté la Jordanie au festival de Toronto, on voit les soldats israéliens exécuter sans aucune justification une famille de réfugiés arabes, y compris le bébé.
Dans la scène en question, une famille de réfugiés arabes – un père, une mère et deux filles – arrive dans la maison de Farha pour tenter de se cacher des soldats. La femme donne naissance au bébé, lorsqu’une unité militaire israélienne comprenant plusieurs soldats arrive à la maison. Le père est arrêté et soupçonné d’être un terroriste, en raison des taches de sang qu’il s’est fait après avoir aidé sa femme à accoucher. Il est interrogé dans un hébreu approximatif et les soldats le battent sévèrement.
Malgré la torture, le père insiste sur son innocence, mais sa femme est alors découverte par les soldats et amenée au commandant. Le commandant conclut qu’elle est enceinte et se demande quel est le sexe du fœtus, et parie que c’est un garçon. Il sort un couteau et menace de couper son ventre proéminent pour vérifier si le pari est correct ou non.
Ainsi, juste avant qu’il ne commette l’acte odieux, les enfants de la famille et le bébé qui les accompagne sont exposés. Le commandant décide d’exécuter les membres de la famille par un peloton d’exécution. Cela se passe sous les yeux de Farha, qui regarde depuis le sous-sol.
Netflix Israël n’a pas réagi à la décision de diffuser le film, mais qu’il examinait la question.
© Equipe de rédaction Israel247.org
Quelle honte!! Comment peut-on en Israël permettre à ces menteurs de diffuser un film aussi abjecte !!! Tous les antisémites vont être confortés dans l’idée que les israéliens sont les nouveaux nazis (comme ils disent !!!)
Plus c’est gros, plus ça passe apparemment. Qui est cette femme qui a témoigné ? Où sont les autres témoignages du même acabit ? Quelle différence avec les protocoles des sages de Sion ? S’il y a eu des crimes de guerre, il y a eu enquête et procès. C’est ainsi en démocratie.