Le président américain Joe Biden signera jeudi, aux côtés du Premier ministre Yair Lapid, une “Déclaration de Jérusalem”.
Que contient-elle ? Du vide. Ou plutôt ceci : “les deux dirigeants s’engagent à ne jamais permettre à l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire”.
Selon un diplomate de haut rang, cité par les médias hébreux,
“le président et son administration sont d’ardents défenseurs d’Israël. Cette visite sera une expression unique des relations intenses et fortes entre Israël et les États-Unis. C’est une déclaration extraordinaire de soutien à Israël.”
La déclaration de Jérusalem “est une déclaration historique qui n’a pas été vue depuis deux décennies”, a déclaré la source.
“C’est une confirmation des liens indéfectibles entre les deux pays et de l’engagement continu des États-Unis envers la sécurité d’Israël.”
Et pendant ce temps, les États-Unis sont déterminés à finaliser un accord nucléaire avec la République islamique, malgré l’échec des récents pourparlers au Qatar, lequel accord permettra à l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, mais pas tout de suite…
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